LA TOUR AVEC DES PNEUS
Je prends donc un pneu, y ajoute un peu de terre, puis mes PDT, je les recouvre de terre, et surtout dans la partie circulaire interne du pneu : des feuilles, bois, enfin tout ce qui servira de compost (SURTOUT PAS de terre !) et assurera toujours une bonne humidité...
Lorsque l'on arrive à la hauteur maximale du pneu, ajouter un nouveau pneu sur le premier, et remettre de la terre, etc etc .....
Voici pour moi les avantages de cette technique (en plus du gain de place !) :
* chaleur maximale pour les plants grâce au "pneumatique"
* humidité constante
* possibilité de décorer sa "tour" pneumatique en y peignant de jolis motifs
* enfin à la récolte, y'a plus qu'à enlever tous les pneus...et le tour est joué, cool non ?
Voilà pourquoi il ne faut PAS METTRE DE TERRE dans la partie circulaire interne du pneu (sinon LOURD A ENLEVER LE PNEU !!! )
Personnellement, j'arrête à 5 pneus... après ça suffit koi !
Pour la toxicité, franchement j'en doute ... en tout cas je n'ai jamais été malade...
Par contre, l'air pollué qu'on respire : en voilà de la toxicité, de la vraie !
Quant aux 100 kg de récolte je ne sais pas car je n'ai pas pesé mes récoltes précédentes, mais c'est vrai que j'ai vachement plus récolté en pneus qu'avec les lignes traditionnelles (j'avais fait les 2 en même temps pour tester..!)
Et maintenant je fais mes Belles de Fontenay, mes Rattes, mes Amandines, mes Charlottes, etc en pneus....
ET J'ADORE !!!!!!
Et vive les frites, purées et gratins !
Lorsque l'on arrive à la hauteur maximale du pneu, ajouter un nouveau pneu sur le premier, et remettre de la terre, etc etc .....
Voici pour moi les avantages de cette technique (en plus du gain de place !) :
* chaleur maximale pour les plants grâce au "pneumatique"
* humidité constante
* possibilité de décorer sa "tour" pneumatique en y peignant de jolis motifs
* enfin à la récolte, y'a plus qu'à enlever tous les pneus...et le tour est joué, cool non ?
Voilà pourquoi il ne faut PAS METTRE DE TERRE dans la partie circulaire interne du pneu (sinon LOURD A ENLEVER LE PNEU !!! )
Personnellement, j'arrête à 5 pneus... après ça suffit koi !
Pour la toxicité, franchement j'en doute ... en tout cas je n'ai jamais été malade...
Par contre, l'air pollué qu'on respire : en voilà de la toxicité, de la vraie !
Quant aux 100 kg de récolte je ne sais pas car je n'ai pas pesé mes récoltes précédentes, mais c'est vrai que j'ai vachement plus récolté en pneus qu'avec les lignes traditionnelles (j'avais fait les 2 en même temps pour tester..!)
Et maintenant je fais mes Belles de Fontenay, mes Rattes, mes Amandines, mes Charlottes, etc en pneus....
ET J'ADORE !!!!!!
Et vive les frites, purées et gratins !
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Jolie notre Terre Mère et tout ce qu'elle nous offre !!!
Plantation en sacs, pour les balcons et terrasses :
Prendre un terreau pour plantations, très léger. Sinon faire le mélange suivant :
- 2 parts de bonne terre de jardin,
- 1 part de terreau universel,
- ½ part de compost,
- 4 litres d’engrais organique soit 10 % du volume,
- 2 poignées de corne broyée.
Mélanger de façon à obtenir un substrat très homogène (pour cela la bétonnière est l’outil idéal)
Prendre un sac vide, plastique et assez solide. Un sac de terreau par exemple ;
Mettre au fond 20 cm de mélange. Déposer 7 pommes de terre
Recouvrir de 10 cm de mélange. Par la suite on en rajoute au fur et à mesure de la pousse des pommes de terre, sans jamais les recouvrir totalement.
Percer le sac pour assurer le drainage
Planter un tuyau au milieu pour faciliter les arrosages.
Autre système avec moins de rendements mais amusant : La colonne de pommes de terre. C’est une suspension pour culture en pots, avec le même type de mélange. On la trouve chez Vive le Jardin, Baobab, Jardiland, Mr Bricolage.
Sarclez régulièrement en buttant : Cette opération a pour but, de couper l’herbe et de ramener de la terre sur le pied.
Plus vous ramenez de la terre, plus vos plantes tubériseront, donc, plus vous mangerez de pommes de terre.
N’appuyez pas trop sur les buttes parce que vous risqueriez de mettre quelques tubercules au grand jour. Par la suite ils verdiraient, c’est-à-dire qu’ils s’enrichiraient en solanine qui est un produit toxique. Il ne faut jamais manger les pommes de terre vertes.
Très régulièrement, je les traite avec un purin végétal en mélange. Consoude, tanaisie et prèle, vous pouvez également mettre de l’ortie.
Utilisez le à 10 % soit 1 litre pour 10 litres d’eau et ajoutez un agent mouillant pour qu’il soit encore plus efficace. Un peu de liquide vaisselle ou de savon noir par exemple. On a ainsi moins de maladies parce que les plantes sont plus résistantes et surtout beaucoup moins de doryphores qui ne doivent pas aimer le goût ou l’odeur.
Dès que vous voyez les premières fleurs, vos plants ne doivent jamais manquer d’eau.
C’est en effet à partir de ce stade que le tubercule grossit et toute sécheresse excessive diminuerait gravement le rendement final. Evitez également les à-coups d’arrosage, les courtes périodes de grande soif. Si vous faites cela, la pomme de terre va avoir un arrêt de végétation et les tubercules referont des petits. En fin de compte vous n’aurez que de petits calibres.
Si vous êtes forcés d’arroser le soir, faites le au pied des plantes seulement. Si vos feuilles restent humides trop longtemps, une nuit entière, c’est la catastrophe : Le mildiou attaque et peut vous anéantir votre culture très rapidement.
Pommes de terre sous paille
La théorie
La culture traditionnelle des pommes de terre est l’une des plus fastidieuses du potager : il faut enterrer les pommes de terre, les butter à plusieurs reprises, et enfin les récolter en bêchant profondément. Toutes tâches nécessitant une certaine dépense physique.
Il n’est cependant pas nécessaire d’enterrer les tubercules pour obtenir une récolte. Ils ont simplement impérativement besoin de ne pas recevoir la lumière du jour, qui les fait verdir et les charge de solanine, les rendant immangeables. Il est donc possible, en théorie, de cultiver des pommes de terre sans les enterrer, simplement en les recouvrant de paille.
Plusieurs méthodes sont proposées : Claude Bourguignon, se basant sur des méthodes traditionnelles boliviennes, recommande de les recouvrir de quelques dizaines de cm de paille. Emilia Hazelip, plus économe, recouvre le sol d’un carton, sous lequel est placé le tubercule auquel on ménage un orifice. Le carton étant lui-même recouvert d’une quantité de paille plus faible que dans le cas précédent. Une autre méthode consiste encore à placer les tubercules dans des pneus, qui sont progressivement empilés et remplis de paille. Le plant pousse alors en hauteur et peut théoriquement produire des tubercules sur toute la hauteur couverte.
Une méthode intermédiaire consiste à enterrer faiblement le tubercule (ne le recouvrir que d’un cm de terre), et à pailler généreusement.
Les interrogation
La principale interrogation retrouvée par les jardiniers concernant cette méthode concerne son rendement. Ils est généralement supposé qu’il est très faible. Il est parfois aussi affirmé que les tubercules, n’étant pas buttés, ne se forment pas correctement, car les rhizomes au bout desquels ils poussent « filent ».
La pratique
Nous avons testé en 2007 la méthode préconisée par Claude Bourguignon, avec des résultats satisfaisants : les tubercules se sont bien formés, atteignant une taille respectable. Le rendement total a été inférieur à ce que l’on pouvait attendre d’une méthode classique, en revanche, la qualité de la récolte était parfaite : pas le moindre signe d’agression de quelque parasite que ce soit, en cette année de mildiou.
Nous avons aussi testé en 2006 et 2007 la méthode intermédiaire, avec d’excellents résultats : rendement comparable à une méthode classique, bonne qualité de la récolte, faible travail. Pour l’instant, cette méthode reste pour nous la plus satisfaisante.
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