Petit Jardin des Ecoliers

Le Petit Jardin des Écoliers
Afin que les hommes reviennent vers la nature,
nous commençons par les enfants 
de quoi s'agit-il ?
Bienvenue sur le site de l'association « Petit Jardin des Écoliers » de Languenan en Bretagne (France).
Ce site s'adresse bien sûr tout d'abord aux enfants et leurs instituteurs, mais aussi à toute personne intéressée par le jardinage ou souhaitant sensibiliser la jeunesse à l'univers naturel.
Au-delà de cet objectif principal, d'autres sous-objectifs essentiels sont visés :
     La découverte de la nature à la porte de l'école ;
     L'observation de la vie : différentes formes de vie, besoins des organismes, cycles des saisons, vie et mort des organismes... ;
     L'acquisition d'une sensibilité esthétique ;
     L'éducation de la main, prolongement du cerveau ;
     La sensibilité à l'environnement et à sa protection ;
     L'écocitoyenneté : jardiniers aujourd'hui, citoyens demain.
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Géranium "Herbe à Robert"

VOICI  UNE  FLEUR  COMMUNE  QUI  MÉRITE  D  ETRE  CONNUE  POUR  SES  NOMBREUSES  VERTUS  
C EST  LE  MOMENT  DE  LES  RÉCOLTER  
  • Abcès
  • Conditions de la glande surrénale
  • Arthrite
  • la douleur de la vessie
  • Saignement
  • Saignement des gencives
  • Bruises
  • Cancer
  • Cataractes
  • Fatigue chronique
  • Problèmes de circulation
  • Colite  ..... 

http://www.aucoeurdesracines.fr/blog/cat/de-la-cueillette-aux-papilles/post/geranium-herbe-a-robert/

http://www.fleurs-des-champs.com/fiche_geranium_robertianum.html

 

http://aujardindamel.e-monsite.com/pages/les-plantes-usages/geranium-robert.html



Nom courant: Herbe à Robert, fourchette du diable, bec de grue, épingles de la vierge, herbe rouge, cerfeuil puant etc..) Cette plante était appelé au moyen age "herba ruperti" . selon les uns , elle aurait été dediée à St Robert ,évéque de Salzbourg au 8 iéme siècle parce qu'il en aurait révélé les propriétés médicinales ( contre les hémorragies, les contusions et les maladies rénales.) Selon les autres il s'agirait d'une corruption de "ruber" rouge dont le sens aurait été mal compris par le peuple.

 

Géranium "Herbe à Robert" : utilisé comme fortifiant


Description

Petite plante herbacée annuelle ou bisannuelle, à odeur assez forte, reconnaissable à la forme de ses feuilles, identiques à celles du géranium, à ses tiges grêles et velues, dressées ou couchées et teintées de rouge. En été, ses fleurs sont disposées par deux, elles ont cinq pétales rose pourpre et les fruits secs ont la forme d'un bec de grue.

 



Lieux de cueillette


Il se rencontre sur les vieux murs, dans les friches, les rochers et les talus jusqu'à 2000 m d'altitude.
L'hybridation du géranium a donné de nombreux pélargoniums odorants aux parfums de réglisse, de citron, de rose, de poivre ou d'ananas, très appréciés en gastronomie sauvage.

Utilisation alimentaire

Les jeunes pousses, les feuilles et les fleurs s'accommodent bien en salade ou associées à d'autres légumes cuits. Les parties de plante séchées et réduites en poudre fournissent un bon aromate pour les marinades, les soupes, les omelettes et les poissons.

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Robert Garcet

Robert GARCET, charmant autodidacte un peu illuminé, a édifié au nord de Liège, une tour de silex, selon les données chiffrées de "L'Apocalypse" de Saint Jean. Il a d'autre part consigné le résultat de ses recherches dans un ouvrage, "L'Heptaméron" dont quatre tomes sont déjà publiés. Il explique le salut, l'espoir (Eben Ezer) que représente cette tour peinte, ornée, sculptée, qui vise à assurer la parfaite harmonie de l'univers et par laquelle a commencé son aventure à travers l'Apocalypse. Il explique ensuite en appuyant ses démonstrations sur des calculs et des cartes, le processus précis des lois qui régissent à la fois l'univers et l'homme et les correspondances exactes qui existent entre l'espace et le temps.Séquences sur la tour et les détails de son ornementation.

VOICI DEUX VIDÉOS OU IL NOUS EXPLIQUE SA VISION DE L HISTOIRE
TRÈS ÉDIFIANT



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Le chocolat cru

Connaissez vous les bienfaits du chocolat cru ?
Voici quelques recettes pour fabriquer vous même votre chocolat
ebook gratuit ici de recettes au chocolat cru
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bon appetit
Bises
Michel


Le cacao est un aliment des dieux, réellement adulé par certains, craint par d’autres. A vénérer ou à proscrire ?
Aliment des dieux
Cela fait de très nombreuses années que le chocolat suscite et soulève des passions, tant son goût ravit et
enchante le palais. Le chocolat est confectionné à base de cacao, auquel on rajoute différents ingrédients
pour accommoder son amertume naturelle en un aliment au goût très savoureux. Le cacao nous vient de
la civilisation aztèque, au Mexique, où il était considéré comme un aliment pour les divinités.
Trop souvent adultéré
Aujourd’hui, le monde entier consomme beaucoup de chocolat. Malheureusement, la majeure partie
de ce chocolat est préparé à base de cacao auquel on rajoute du lait, du sucre et d’autres ingrédients
qui ne sont pas des plus sains (colorants, arômes artificiels, conservateurs). D’autre part, les méthodes
de production qui privilégient une logistique efficace et peu coûteuse, en particulier une longue durée
de vie des produits, est basée sur la torréfaction des fèves de cacao. Cette opération endommage
malheureusement les qualités nutritives élevées de la fève . C’est pourquoi en alimentation crue, dont
le principal objectif est de tirer un maximum de bienfaits des aliments dans leur état le plus naturel
possible, on privilégie l’utilisation de cacao cru, non torréfié, dont les propriétés antioxydantes sont plus
élevées.
Incroyables nutriments - A vénérer ?
Le cacao dans son état naturel contient en effet une quantité remarquable de nutriments. Il regorge
d’antioxydants, contient des matières grasses aux effets bénéfiques pour la santé ainsi que de nombreuses
vitamines et minéraux (phosphore, magnésium, fer, zinc, etc.). La capacité antioxydante du cacao serait
4 à 5 fois plus élevée que celle du thé noir, et 2 fois plus élevée que celle du vin. En version crue, ces
propriétés sont encore plus élevées. En outre, certaines substances du cacao auraient une influence
positive sur notre humeur, notre libido, notre état d’âme et notre forme physique, c’est pourquoi le
cacao est considéré par certains comme un super-aliment dont il ne faut pas se priver.
Dépendance - A proscrire ?
En revanche, de nombreux spécialistes de l’alimentation crue se sont soulevés contre l’usage abusif du
cacao, car il contient des substances qui affectent le rythme cardiaque et peuvent créer une dépendance.
Certes, le cacao a des vertus excitantes et euphorisantes et chez certaines personnes ces effets sont
plus marqués. Les personnes mangeant cru depuis plusieurs années deviennent souvent plus sensibles
à ces substances. Pour ma part, je considère le cacao comme un aliment festif, doux, à déguster en
modération, mais à ne proscrire que si vous constatez qu’il vous affecte de manière négative. Pour les
enfants et les personnes sensibles, remplacez le cacao par de la poudre de caroube, dont la saveur est
proche et qui ne présente aucun inconvénient pour la santé. Sinon, profitez des périodes festives pour
déguster le chocolat avec le plus grand plaisir ! Cet e-book a été réalisé pour vous aider à y parvenir !


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Jardin recolte semences

Archive pour la catégorie ‘Production de vos semences’

Fabrication d’une cage d’isolation

Publié dans Production de vos semences à 5 octobre 2011 | 2 commentaires »

Si comme plusieurs, vous récupérez les semences de vos fruits et légumes préférés il arrive qu’il soit impossible d’en conserver la pureté génétique en raison de la proximité d’un cultivar semblable trop près du vôtre. Par exemple, une distance recommandée de 165 mètres doit être prévue entre deux variétés de poivrons, 16 mètres pour les aubergines, 50 [...]

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Comment produire et conserver vos semences de céleri

Publié dans Production de vos semences à 28 septembre 2011 | Laisser un commentaire »

Connaissez-vous des jardiniers amateurs qui cultivent le céleri? Pour notre part, non et ça fait belle lurette qu’on visite des potagers. Lorsqu’on fait notre épicerie, nous nous désolons souvent de n’y voir qu’une seule variété. Le catalogue de Dupuy & Ferguson de 1932 en dénombrait pas moins de 13 sortes différentes. Une plus grande diversité en inciterait [...]

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Tomate… rouge ou rose?

Publié dans Production de vos semences à 20 septembre 2011 | Laisser un commentaire »

Récemment, nous avons reçu un texte très intéressant (photographies à l’appui) composé par Madame Michèle Renaud concernant la manière d’identifier une tomate rouge versus une rose. Nous la remercions chaleureusement de sa contribution à partager avec nous sa passion pour les tomates anciennes. Imaginez… elle en a cultivé près de 50 variétés cet été. Wow! Nous vous retranscrivons ici-bas son texte [...]

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Comment produire et conserver vos semences de betterave

Publié dans Production de vos semences à 29 juillet 2011 | Laisser un commentaire »

À cause de leur pollen extrêmement léger, la betterave peut se polliniser avec la betterave à sucre, la betterave fourragère, la bette à carde et d’autres betteraves potagères. La distance d’isolement recommandée se situera entre 3 et 8 kilomètres. Ainsi à l’automne, récoltez les plus belles racines (bien formées, exemptes de meurtrissures et/ou de maladies apparentes). Il y a de multiples raisons pour [...]

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L’ensachage des fruits

Publié dans Production de vos semences à 20 juillet 2011 | Laisser un commentaire »

L’ensachage des fruits est une technique ancestrale qui s’applique à la pomme, la pêche, le raisin et la poire.. Elle n’est plus utilisée de nos jours car elle a été remplacée par toutes sortes de méthodes phytosanitaires… pas toujours naturelles mais plus productives. Em fait, pour l’industrie, cela s’avèrerait trop coûteux en main-d’œuvre. Mais pour les amateurs possédant quelques arbres fruitiers [...]

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Comment produire et conserver vos semences de radis d’été

Publié dans Production de vos semences à 7 juillet 2011 | Laisser un commentaire »

Le radis d’été est l’un des légumes préférés des enfants. Je parle ici du fait qu’il arrive à maturité rapidement (un peu plus d’une vingtaine de jours) et non pas nécessairement de leurs préférences gustatives. Ils peuvent ainsi vite récolter leurs légumes et même en semer plusieurs fois à l’intérieur du même été. Ça les encourage dans leurs efforts et vous pouvez, [...]

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Comment produire et conserver vos semences de rhubarbe

Publié dans Production de vos semences à 6 juin 2011 | Laisser un commentaire »

J’ai reçu trois plants de rhubarbe de mon beau-père en 2003. Ce dernier l’avait obtenu de son père, agriculteur dans les années 70, l’ayant eu de… et ainsi de suite. Je n’ai donc aucune idée du cultivar, ni de son origine. Mais elle est très vieille. Pour ceux intéressés à en obtenir d’une tierce personne, sachez que pour reproduire fidèlement un plant [...]

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La consignation du pedigree de vos fruits et légumes

Publié dans Production de vos semences à 25 mai 2011 | Laisser un commentaire »

Vous êtes amateurs de fruits et /ou légumes anciens? Vous conservez vos semences à la fin de chaque saison? Comment savoir si vos plants conservent, années après années, les mêmes attributs? En effet, après un certains temps, le cultivar évolue aux profits de votre environnement mais aussi selon la sélection que vous en faites. De manière inconsciente, miser sur des plants [...]

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Comment produire et conserver vos semences de tournesol

Publié dans Production de vos semences à 23 mai 2011 | Laisser un commentaire »

Le plus difficile avec la production de semences de tournesol, c’est de savoir s’il y a une autre variété à proximité. En effet, pour éviter la pollinisation croisée, la distance recommandée entre les cultivars, incluant les variétés sauvages se situe entre 800 mètres et 5 kilomètres. Autant dire que c’est presque impossible puisque dans un rayon de 5 kilomètres, comment savoir si un de [...]

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Comment produire et conserver vos semences de pois

Publié dans Production de vos semences à 9 mai 2011 | Laisser un commentaire »

Comme tous les légumes de la famille des légumineuses (fabiacées), la culture et la production de semences de pois est très facile. En effet, les fleurs sont auto-fécondes et elles se polliniseraient même avant leur ouverture. Par contre, un croisement est toujours possible. On élimine tout risque avec une distance recommandée entre 15 et 100 mètres entre chaque variété. Si vous voyez [...]

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St Amour

Le 9 août, c'est la fête de l'amour

C'est à un saint martyr de Franche-Comté, ayant vécu au 8ème siècle, que nous devons la fête de la Saint Amour, le 9 août. Si nous avons très peu d'informations sur la vie de ce martyr, en revanche rien ne nous empêche de profiter de la date de sa fête pour célébrer l'amour ! Amour passionné, amour tendre, amour filial, amour paternel ou maternel, toutes les formes d'amours sont à la fête le 9 août. C'est la date idéale pour une demande en mariage, mais c'est aussi un jour tout indiqué pour manifester de l'amour aux membres de sa famille, à tous ceux qui nous sont chers...


La commune de Saint Amour

Difficile d'évoquer la Saint Amour sans mentionner l'existence de la commune qui porte son nom, dans le Jura. La ville de Saint-Amour conserve, dit-on, les reliques de deux saints, Saint Amour et Saint Viateur. Mais il se pourrait que ces deux saints soient légendaires. Leur culte aurait été introduit dans cette commune pour remplacer celui des dieux romains antiques Cupidon et Mercure... Quoiqu'il en soit, la commune de Saint-Amour est, tout comme la commune de Saint-Valentin dans l'Indre, une destination très prisée des amoureux le jour de la Saint Valentin et le jour de la Saint Amour.


Le 9 août a bien des atouts !

Le 9 août, on ne fête pas que l'amour ! C'est aussi la Sainte Bénédicte, la Sainte Edith, la Saint Mathias, et la Sainte Thérèse. Si vous portez un de ces prénoms et que vous avez le cœur empli d'amour, c'est donc doublement votre fête !

Souhaitons à ceux et celles qui donnent au quotidien amour et attentions de recevoir le jour de la Saint Amour une marque de tendresse !
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La Fougére

Qui n'a pas rêvé de venir à bout des limaces et gastéropodes qui ruinent les carrés de fraisiers, de salades, que l'on s'est donné tant de mal à planter et faire pousser ?

Un anti-limace naturel : personnellement, cela fait déjà plusieurs années que je préserve mes cultures sensibles des escargots et limaces par un léger paillage de feuilles de fougère. Plus précisément la fougère aigle qui pousse souvent de manière sauvage un peu partout dans les fossés, et dont quelques pieds ont investi un coin de mon jardin, qui m'évitent en plus de partir refaire mes stocks trop loin.

Il me suffit en général de quelques feuilles que je découpe en particules et que j'étale entre mes salades, mes fraisiers, mes courgettes. Une ou deux autres feuilles émiettées de la même manière sont disséminées autour des plate bandes sujettes aux gastéropodes, et en général me voilà tranquille pour un sacré bout de temps.

Il se dit que la fougère empoisonne les limaces, parce qu'elle contiendrait un aldéhyde se transformant en métaldéhyde mortel après fermentation, qui serait fatal à nos gastéropodes ennemis.

Le purin de fougères constitue aussi une autre préparation intéressante pour le jardinier par ses vertus insecticides.

Pteridium aquilinum


Utilisations

Litière

Cette fougère est souvent utilisée pour faire office de litière pour le bétail dans les régions montagneuses où la récolte de la paille est limitée.

Paillage antifongique

La fougère, en particulier la fougère aigle (Pteridium aquilinum) commune dans les landes et forêts françaises, peut être utilisée en jardinage biologique[1]. On la récolte de préférence sèche ou jaunissante, à l'automne. A cette époque de l'année, sa vocation première est de servir de protection contre le gel à toutes les plantes sensibles: mâches, chicorée sauvage, scarole, artichaut...

Quand vient le printemps, la fougère se transforme en matériau idéal pour la couverture du sol. C'est dans les fraisiers qu'elle donne le meilleur d'elle-même grâce a son action allélopathie antifongique contre la pourriture grise. Mais on peut également l'utiliser pour pailler toutes sortes de culture des lors que le sol s'est réchauffé, en guise d'assurances anti-sécheresse et anti mauvaises herbes.

En paillage frais ou sec de 5 cm d'épaisseur environ, elle attire mais empoisonne les limaces car elle contient un aldéhyde se transformant en métaldéhyde après fermentation. Le purin de fougère peut également être utilisé à cet effet et il serait encore plus efficace si l’on ajoute quelques marrons d’Inde écrasés lors de la fabrication.

lugernos-dossiers-le paillage



Purin de fougère insecticide

Le purin de fougère est également un insecticide puissant qui permet de détruire le puceron lanigère (que la plupart des insecticides chimiques n’arrivent pas à contrôler). Il serait également efficace contre le taupin de la pomme de terre et la citadelle de la vigne. Utiliser en pulvérisation dilué à 10% (laisser fermenter 1 dose de fougère dans 10 doses d'eau puis diluer le résultat de la fermentation dans 10 fois son volume d'eau et pulvériser). C’est un des rares insecticides à utiliser en « curatif ».

Engrais vert

La fougère aigle pousse dans les sols acides mais elle n'acidifie pas le sol: cette plante est une plante améliorante qui contient de grandes quantités de Chaux, remède naturel contre l'acidité. Mieux elle constitue un véritable engrais vert, 7 fois plus riche en azote, 3 fois plus riche en phosphore et 5 fois plus riche en potasse que le fumier de vache ! Il est donc souhaitable de l'incorporer au sol après qu'elle ait servi de "mulch". Elle favoriserait le développement d'un important chevelu racinaire.

La fougère mâle (Dryopteris filix-mas) aurait des propriété proches de la fougère aigle, sauf les actions antifongiques [2].




Toxicité

Toutes les parties de la fougère aigle sont considérées comme toxiques en raison de sa teneur en aquilide A et aux dérivés du cyanure. Les animaux qui en abusent (rongeurs, jeunes bovins en stabulation libre avec fougère utilisée comme litière) sont atteints d'une maladie mortelle nommée "pteridisme". Les chevaux peuvent également en souffrir s'ils en consomment en forte dose (plus de 2 kg par jour pendant 1 mois). A petite dose, on peut les soigner à l'aide de vitamine B1.

La jeune fougère contient une thiaminase (détruisant la vitamine B1), un hétéroside cyanogénétique et des substances cancérigènes.

On utilise toutefois de jeunes pousses de fougères cuites comme légume dans certaines parties du Japon et de la Corée et ces populations ont le plus fort taux de cancer de l'estomac au monde.

Les massifs de fougères pullulent souvent de tiques propageant des maladies redoutables pour les chiens comme pour l'homme (Maladie de Lime, par exemple).

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A défaut de BRF.......manque de matière première, se rabattre sur la fougère qui est partout, quand vient le printemps, la fougère se transforme en matériau idéal pour la couverture du sol. C'est dans les fraisiers qu'elle donne le meilleur d'elle-même grâce a son action allélopathique antifongique contre la pourriture grise. Mais on peut également l'utiliser pour pailler toutes sortes de cultures dès lors que le sol s'est réchauffé, en guise d'assurances anti-sécheresse et anti mauvaises herbes.

En paillage frais ou sec de 5 cm d'épaisseur environ, elle attire mais empoisonne les limaces car elle contient un aldéhyde se transformant en métaldéhyde après fermentation. Le purin de fougère peut également être utilisé à cet effet et il serait encore plus efficace si l’on ajoute quelques marrons d’Inde écrasés lors de la fabrication.

Purin de fougère insecticide :
Le purin de fougère est également un insecticide puissant qui permet de détruire le puceron lanigère (que la plupart des insecticides chimiques n’arrivent pas à contrôler). Il serait également efficace contre le taupin de la pomme de terre et la citadelle de la vigne. Utiliser en pulvérisation dilué à 10 % (laisser fermenter 1 dose de fougère dans 10 doses d'eau puis diluer le résultat de la fermentation dans 10 fois son volume d'eau et pulvériser). C’est un des rares insecticides à utiliser en « curatif ».
Nina

La technique du paillage est facile à mettre en œuvre soit au potager, sur les massifs de fleurs et d’arbustes et au pied des arbres nouvellement plantés. Le paillage est une aide indispensable au jardin pour une culture biologique de celui –ci.
Nous ne parlerons pas ici des paillages plastiques, car bien souvent inesthétiques, ils ne trouveront leur place que dans la plantation de haies bocagères par exemple.
Installation du paillage :
La mise en place du paillage au potager se fera au fur et à mesure de vos plantations, il devra se dégrader rapidement pour ne pas occuper le terrain après les récoltes. Au jardin d’agrément vous aurez avantage à le faire en automne car il jouera un rôle de tampon thermique.
ATTENTION certaines plantes de vos jardins détestent l’humidité excessive l’hiver, alors évitez de les pailler ou si vous les avez paillé pour l’été écartez le paillage l’hiver.

*il est indispensable que le sol soit au préalable travaillé, ne jamais mettre de paillis sur une terre tassée.
*Avant d’installer votre paillis débarrasser le sol des herbes vivaces, les herbes annuelles ne franchirons pas le paillis si il est de bonne épaisseur.
*Toujours faire ce travail près une période pluvieuse un bon arrosage.
*Le paillage végétale peut avoir un inconvénient, provoquer de la pourriture aux pieds des végétaux sensibles (salades). Vous devrez donc écarter celui-ci de la plante.
*Pour le paillage d’espace vert vous complèterez le paillis au fur et à mesure de sa dégradation.

Les différentes formes de paillage et leurs inconvénients :

1-Les tontes de gazon ou de prairies :
Certainement la forme de paillage la plus employée. ATTENTION uniquement des tontes de gazon non traitées. Son apport limitera les arrosages, ce paillis est en plus riche en azote. C’est vraiment le paillis le moins cher qui soit, il ne devra cependant être étendu qu’après un pré- fanage de quelques jours. Une couche de 8 à 10cm pourra sur des massifs tenir 5 mois. Sur de jeunes plantations il ne faudra pas l’employer car il est très riche en azote et il y a donc risque de brulure. Pour ne pas avoir de risque de voir pousser des graminées dans votre paillis faites les tontes avant la montée à graine des plantes.
2-Les feuilles mortes :
Ramassées en automne et stockées, elles feront un paillis qui fertilisera le sol. Certaine feuilles comme celles du platane devront être broyées car elles sont longues à se décomposer. Ne mettez pas 100%de feuilles de chêne car elles sont riches en tanin.
3- les feuilles de fougères :
C’est un excellant paillage riche en potasse et sa mise en œuvre est facile. L’été paillez les pieds de tomate avec des feuilles de fougères fraiches (elles ont un pouvoir répulsif contre certains insectes). Elles joueront un rôle de régulateur de température de votre sol, souvent utile pour certaines plantes.
4-la paille de céréale :
Ce pourrait paraitre la plus facile à employer et de plus elle est peu chère et son apport de potassium n’est pas négligeable. Mais elle présente beaucoup d’inconvénients : pour un potager sa dégradation si elle n’est pas broyée, est assez longue ; mais surtout pour se décomposer elle demande beaucoup d’azote. En plus elle est riche en graine de graminées qui dès la première pluie lèverons.
5- les paillettes de lin :
Voila un paillage qui serait idéal mais son cout est élevé. Les paillettes de lin ont un fort pouvoir de rétention d’eau. Elles sont aussi un régulateur thermique du sol. C’est un paillis propre et décoratif.
6- seulement à titre indicatif les restes de torréfaction et de séchage du cacao :
Quand on veut faire un jardin biologique et écologique il est contre productif d’importer ce matériau du bout de la planète quand on à tout ce qu’il faut sur place.
7-Les écorces de pin des Landes :
Vous l’emploierez en couche de 10cm minimum pour le gros calibrage et en couche de 5 cm pour le petit calibre (préférez cette forme).Elles ne seront utilisées qu’au jardin d’agrément. Elles ont un gros inconvénient, c’est d’acidifier le sol. Les écorces de pin seront par contre le paillage idéal des plantes de terre de bruyère.
8-Le BRF, sous ce nom se cache en fait les petites branches de débroussaillage broyé :
Ecologiquement c’est le meilleur ; il recycle les déchets de taille, de débroussaillage et d’élagage qui bien souvent étaient brulés. Pour la culture biologique (sil ne contient pas de déchet de taille de conifère) c’est bon stimulateur de la vie microbienne du sol. Par les différents composant qu’il apporte les plantes seront plus résistantes ; Il augmente le pouvoir de rétention d’eau du sol. ATTENTION : certaines villes pratiquant, ce qui est louable, le compostage des déchets vert le restitue aux habitants. Vous ne devrez pas l’utilisez au potager car en ville les déchets de taille sont en grande partie issue des tailles de haies encore en grande partie plantée de conifères.
Le meilleur paillage sera le BRF issu de plantes non résineuses mélanger avec de la tonte de pelouse à raison de 20%.


La fougère Aigle:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Foug%C3%A8re_aigle


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